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Articles

Affichage des articles du 2018

Conseil de Brest Métropole : la demande de subsidiarité

Le Conseil de Brest Métropole qui s’est réuni vendredi 21 décembre avait à élire sept de ses vice - président(e)s ainsi que les membres du bureau de la métropole. En outre, ont été désignés les délégués siégeant au bureau de la métropole quand leur présence est requise par un ordre du jour ayant trait à leurs compétences et seulement avec voix consultative, les membres des commissions permanentes du Conseil et du Bureau de la métropole et les représentants de Brest Métropole dans divers organismes.   Cette procédure de remaniement d’une partie de l’organigramme de Brest Métropole s’est faite dans les règles du droit, conformément aux articles de loi L.5211 et L.2121-4 du Code Général des Collectivités Territoriales et L.273-10 du Code électoral. À noter que le Conseil de Brest métropole a accueilli deux nouveaux conseillers : M. Hosny Trabelsi (c’est un retour pour celui-ci car il avait déjà appartenu à cette assemblée de 2001 à 2014) et M. Yann Guével, qui est nommé deuxième vice

Brest : L'opposition réagit à la crise de l'exécutif local.

Voici le nouveau communiqué de presse du groupe d'opposition brestoise, RPB, à propos de l'affaire Masson et de l'engagement public de Monsieur Cuillandre, le maire de Brest et président de Brest Métropole, à convoquer un conseil municipal extraordinaire : "Démocratie locale version Cuillandre : l’opacité continue Lors de sa conférence de presse du 26 novembre dernier sur l’affaire Masson, M. Cuillandre s’était engagé devant la presse,  à convoquer un conseil municipal extraordinaire, les jours suivants. Voulant croire qu’une telle annonce publique valait  promesse, nous avons  attendu cette convocation. La réalité est autre puisqu’il n’y aura pas de conseil extraordinaire mais un conseil ordinaire, le 19 décembre à 16h00 (et un conseil de la métropole le 21 décembre) avec un ordre du jour déjà conséquent. L’exécutif municipal  déjà malmené par cette affaire, cherche sans doute  le moyen de réduire les impacts médiatiques en profitant des fêtes de fin

Insécurité à Brest : RPB fustige le bilan de la mairie

Les élus RPB avec le dernier numéro de Sciage , leur journal de groupe municipal. Face à la montée inquiétante de l’insécurité dont la ville de Brest n’est pas épargnée, à l’occasion de la sortie du n°4 de leur journal, Sciage , l’opposition de droite de la ville, Rassemblement Pour Brest (RPB), fait une piqûre de rappel sur ce thème auprès des brestois(es).  Le Maire, François Cuillandre, et la majorité socialiste municipale semblent certes se tourner dorénavant vers des dispositifs comme la vidéo-protection et la police municipale réclamées depuis 2014 par l’opposition, mais Bernadette Malgorn, la patronne de la droite brestoise, ne fustige qu’ «  un début de réflexion  » et donc «  peu de concret !  »  Elle dénonce un entêtement idéologique de la part de Monsieur Cuillandre, d’autant plus qu’elle rappelle que «  toutes les villes de plus de 100 000 habitants gérées par des socialistes ont mis en place ces dispositifs  » qu’elle réclame depuis 2014. «  Pour nous ce n’es

L'opposition brestoise réagit à l'installation de caméras de vidéo-protection à Brest

Voici le nouveau communiqué de presse de RPB, le groupe d'opposition municipale à Brest concernant l'installation de caméras de vidéo-protection à Brest : Caméras à Brest : les contradictions de la doctrine Cuillandre Président de la Métropole, maire de Brest et président de Brest’aim,  M. Cuillandre a demandé et obtenu le 16 octobre 2018, l’autorisation d’installer et d’exploiter des systèmes de  caméras sur le territoire de la Métropole. Trois arrêtés préfectoraux autorisent  vingt-huit caméras  de surveillance sur le réseau routier, treize caméras extérieures  sur le port du Moulin-Blanc et cinq caméras extérieures et une voie publique au Port du Château. Bernadette Malgorn vient donc d’écrire  au maire pour obtenir plus informations (copie jointe). La doctrine Cuillandre vacillerait-elle à l’approche des élections de 2020 ? Car, nous avions cru comprendre que, pour  le maire et  sa majorité,  la vidéoprotection sur la voie publique était « attentatoir

Conseil municipal de Brest : la sécurité, thème omniprésent

Le thème de l’insécurité a été beaucoup débattu lors de ce conseil municipal du 19 octobre 2018, les propositions du groupe RPB de la police municipale et de la vidéo-surveillance ayant été reprises par d’autres groupes politiques comme le groupe des élus LREM. «  Il semblerait que vous commenciez à être préoccupé et que la majorité municipale se renseigne y compris sur ce que vous n’avez cessé de brocarder lorsque Nous le proposions : la vidéo-protection et la police municipale  », s’en félicite Bernadette Malgorne.   Mais elle déplore la lenteur prise par la municipalité sur cette question : «  Le dispositif est proposé depuis 2017, vous venez de vous en apercevoir fin 2018  ». Elle rappelle aussi au maire qu’elle avait déjà mis sur la table ces questions de la montée de l’insécurité, de la délinquance et de la criminalité lors des « s éances des conseils municipaux de juin 2015 et d’octobre 2015  », regrettant à l’époque le «  déni de l’insécurité  » et soulignant «  les respon

Conseil de Brest Métropole : L’économie locale tangue, les élus imaginent son sauvetage

Mme Bernadette Malgorn, chef du principal groupe d’opposition, RPB, a dénoncé le grignotage des terres agricoles par la ville de Brest, notamment par la ZAC de la Fontaine-Margot. Malgré le compromis conclu avec les exploitants des fermes de Traon-Bihan et de Kérivin Vao qui peuvent poursuivre leur activité agricole ailleurs grâce à des terres libérées, « l e bilan pour le foncier agricole est négatif  ». Même si son groupe a pu être en accord avec la création d’autres ZAC quand la vocation économique permettait la création d’emplois, elle assure que la ZAC de la Fontaine-Margot ne «  répondait pas à l’intérêt général , les besoins en logements pouvant encore pour des années être couverts dans le périmètre déjà urbanisé  ».   Mme Malgorn dénonce en outre le manque de perspectives sur le long-terme et l’imprécision du Document d’Orientation et d’Objectifs du Scot du pays de Brest, qui si les objectifs affichés dans son Plan d’Aménagement et de Développement Durable (PADD) étaie

UDB du pays de Brest : Brest doit faire de l'accessibilité universelle aux logements une priorité.

La section locale de l'UDB (Union démocratique bretonne) du pays de Brest s'émeut et s'inquiète de l'article 18 du nouveau projet de loi Elan, pour l'accessibilité des personnes en situation de handicap aux logements qui peut représenter selon eux un " recul des normes dans d’autres domaines et un manque d’ambition" en matière d'égalité aux droits fondamentaux de la personne humaine, reconnus comme Principes Fondamentaux Reconnus par les Lois de la République (PFRLR) par les préambules des constitutions de la Quatrième et de la Cinquième Républiques depuis 1946.  Les élu-e-s UDB exigent donc que Brest suive l'exemple de la maire de Nantes, Johanna Rolland, pour imposer 100 % de logements sociaux et de logements  construits sous projets publics, accessibles aux personnes en situation de handicap. Voici leur communiqué de presse : " UDB Pays de Brest, Elus UDB du pays de Brest Communiqué La section UDB du Pays de Brest s’inqu

Les réflexions économiques de Rassemblement pour Brest dans leur nouveau journal

Les élus du Rassemblement Pour Brest avec leurs bulletins de propagande politique dans les mains. De gauche à droite : Brigitte Hûe, Claudine Péron, Bernadette Malgorn, Bruno Sifantus, Véronique Bourbigot. RPB, le groupe d’opposition de la droite brestoise, a tenu une conférence de presse mercredi 26 avril à l’occasion de la sortie de son troisième numéro de Sciage , abordant trois grandes thématiques : l’emploi, la LGV et l’avenir du site de la Défense à Brest. Mais en filigrane de ces trois thèmes, domine celui de l’avenir économique du bassin de Brest et plus largement celui de l’Ouest de la Bretagne. Pourquoi avoir choisi de parler de l’emploi dans ce numéro de Sciage car c’est un domaine d’action qui relève de l’État surtout, plus que de la ville ? «  La sécurité, l’emploi et l’économie sont des préoccupations majeures des gens qui nous interpellent. Pour des tas de raisons il est de notre responsabilité de nous mobiliser pour l’emploi  », explique la leader incontest

La droite brestoise répète son appel à la vidéo-surveillance

Voici la réaction du groupe de l'opposition brestoise de droite (RPB) aux nouveaux chiffres de la délinquance qui malheureusement ont augmenté à Brest, surtout les agressions dans l'hyper-centre et autour du campus du Bouguen où des étudiants ont été victimes de faits de violence comme cela a été rappelé par un communiqué de la présidence de l'UBO dans Le Télégramme du 19 avril. Seul point positif mais qui ne fait pas chuter la délinquance, la progression du taux d'élucidation des actes de délinquance par la police. Voici le communiqué de RPB : RÉACTION DE RASSEMBLEMENT POUR BREST Sécurité à Brest : que disent vraiment les statistiques ? La sortie des statistiques officielles de la délinquance a donné lieu à deux lectures. L’une souligne ce qui va mieux comme le taux d’élucidation : merci à l’efficacité des services de police. L’autre s’alarme sur la montée du trafic de stupéfiants et des agressions par les étrangers dans l’hyper-centre dans Brest.  Parlons

La droite brestoise à nouveau remontée contre le téléphérique

Face aux nombreux dysfonctionnements du téléphérique, dont le dernier en date est une fêlure du hublot du plancher de la deuxième cabine qui était la seule encore en fonctionnement sur les deux cabines de téléphérique brestois, la droite Brestoise par la personne de Bernadette Malgorn a interpellé le maire et son groupe (RPB) a émis un nouveau communiqué de presse dont voici la teneur : Téléphérique : le Rassemblement pour Brest demande une enquête judiciaire. Le 9 février dernier, c’est au nom du Rassemblement pour Brest (courrier joint) que Bernadette Malgorn a écrit à François Cuillandre, président de Brest Métropole,  pour exiger tous les éclaircissements nécessaires sur les dysfonctionnements du téléphérique, des éléments non obtenus, jusqu’à présent, malgré les demandes récurrentes du groupe RPB. Avant même les révélations tardives de M. Nedelec, vice-président de Brest Métropole, Bernadette Malgorn avait demandé qu’une enquête judiciaire soit diligentée. Déjà,