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Affichage des articles du novembre, 2018

Insécurité à Brest : RPB fustige le bilan de la mairie

Les élus RPB avec le dernier numéro de Sciage , leur journal de groupe municipal. Face à la montée inquiétante de l’insécurité dont la ville de Brest n’est pas épargnée, à l’occasion de la sortie du n°4 de leur journal, Sciage , l’opposition de droite de la ville, Rassemblement Pour Brest (RPB), fait une piqûre de rappel sur ce thème auprès des brestois(es).  Le Maire, François Cuillandre, et la majorité socialiste municipale semblent certes se tourner dorénavant vers des dispositifs comme la vidéo-protection et la police municipale réclamées depuis 2014 par l’opposition, mais Bernadette Malgorn, la patronne de la droite brestoise, ne fustige qu’ «  un début de réflexion  » et donc «  peu de concret !  »  Elle dénonce un entêtement idéologique de la part de Monsieur Cuillandre, d’autant plus qu’elle rappelle que «  toutes les villes de plus de 100 000 habitants gérées par des socialistes ont mis en place ces dispositifs  » qu’elle réclame depuis 2014. «  Pour nous ce n’es

L'opposition brestoise réagit à l'installation de caméras de vidéo-protection à Brest

Voici le nouveau communiqué de presse de RPB, le groupe d'opposition municipale à Brest concernant l'installation de caméras de vidéo-protection à Brest : Caméras à Brest : les contradictions de la doctrine Cuillandre Président de la Métropole, maire de Brest et président de Brest’aim,  M. Cuillandre a demandé et obtenu le 16 octobre 2018, l’autorisation d’installer et d’exploiter des systèmes de  caméras sur le territoire de la Métropole. Trois arrêtés préfectoraux autorisent  vingt-huit caméras  de surveillance sur le réseau routier, treize caméras extérieures  sur le port du Moulin-Blanc et cinq caméras extérieures et une voie publique au Port du Château. Bernadette Malgorn vient donc d’écrire  au maire pour obtenir plus informations (copie jointe). La doctrine Cuillandre vacillerait-elle à l’approche des élections de 2020 ? Car, nous avions cru comprendre que, pour  le maire et  sa majorité,  la vidéoprotection sur la voie publique était « attentatoir