Accéder au contenu principal

L'opposition brestoise réagit à l'installation de caméras de vidéo-protection à Brest

Voici le nouveau communiqué de presse de RPB, le groupe d'opposition municipale à Brest concernant l'installation de caméras de vidéo-protection à Brest :

Caméras à Brest :
les contradictions de la doctrine Cuillandre

Président de la Métropole, maire de Brest et président de Brest’aim,  M. Cuillandre a demandé et obtenu le 16 octobre 2018, l’autorisation d’installer et d’exploiter des systèmes de  caméras sur le territoire de la Métropole.

Trois arrêtés préfectoraux autorisent  vingt-huit caméras  de surveillance sur le réseau routier, treize caméras extérieures  sur le port du Moulin-Blanc et cinq caméras extérieures et une voie publique au Port du Château. Bernadette Malgorn vient donc d’écrire  au maire pour obtenir plus informations (copie jointe).

La doctrine Cuillandre vacillerait-elle à l’approche des élections de 2020 ?

Car, nous avions cru comprendre que, pour  le maire et  sa majorité,  la vidéoprotection sur la voie publique était « attentatoire aux libertés publiques » et inutile car « les caméras  ne courent pas après les délinquants ». Voulant appuyer sa démonstration et brocarder la position du Rassemblement pour Brest,  il agitait en conseil municipal du 19 octobre 2018, comme référence la position militante du sociologue Mucchielli, auteur du livre « Vous êtes filmés, enquête sur le bluff de la vidéoprotection ».

Sauf que trois jours plus tôt le préfet lui accordait d’équiper notre collectivité de ces caméras honnies.

Alors ? Surveiller les bâtiments publics et contrôler la circulation routière ? OUI, pour M. Cuillandre. Mais protéger les Brestois ? NON ? L’équipe municipale nage en  pleine contradiction.

Quant à notre groupe du Rassemblement pour Brest, nos projets sont prêts. Ils ont été préparés avec des professionnels et des citoyens, ils reposent sur des bases  juridiques solides.

Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog

« Colère de Brest ! L’humain d’abord » dévoile sa liste.

Les 10 premiers candidats de la liste "Colère de Brest ! L'humain d'abord", samedi 15 février, devant les marches de la mairie de Brest. Comme prévu, la liste « Colère de Brest ! L’humain d’abord » a dévoilé la composition de sa liste, notamment les 10 premiers noms, samedi 15 février. Voici ceux-ci : Quentin Marchand, 28 ans, Assistant d’éducation, quartier du Centre. Christine Panaget-Le Roy, 52 ans, Salariée association, quartier du Pilier-Rouge. Julien Delbende, 39 ans, Sans emploi, quartier du Centre- Saint Michel. Josette Brenterch, 62 ans, Retraitée de l’Éducation nationale, Bellevue. Hubert Casel, 57 ans, Ingénieur, Recouvrance. Sylvie Gourmelen, 62 ans, Aide Soignante, Recouvrance. Antoine Larfaoui, 22 ans, Étudiant, quartier de Saint-Martin. Anne-Marie Alayse, 63 ans, Cadre de recherche, Bellevue. André Garçon, 60 ans, Technicien Télécom, Saint-Marc. Monique Le Guillou, 63 ans, Retraitée Conseillère Principale d’Éducation, Centre. Not...

Les réflexions économiques de Rassemblement pour Brest dans leur nouveau journal

Les élus du Rassemblement Pour Brest avec leurs bulletins de propagande politique dans les mains. De gauche à droite : Brigitte Hûe, Claudine Péron, Bernadette Malgorn, Bruno Sifantus, Véronique Bourbigot. RPB, le groupe d’opposition de la droite brestoise, a tenu une conférence de presse mercredi 26 avril à l’occasion de la sortie de son troisième numéro de Sciage , abordant trois grandes thématiques : l’emploi, la LGV et l’avenir du site de la Défense à Brest. Mais en filigrane de ces trois thèmes, domine celui de l’avenir économique du bassin de Brest et plus largement celui de l’Ouest de la Bretagne. Pourquoi avoir choisi de parler de l’emploi dans ce numéro de Sciage car c’est un domaine d’action qui relève de l’État surtout, plus que de la ville ? «  La sécurité, l’emploi et l’économie sont des préoccupations majeures des gens qui nous interpellent. Pour des tas de raisons il est de notre responsabilité de nous mobiliser pour l’emploi  », explique la leader ...

La cité antique de Pompéi va-t-elle retrouver tout son faste ?

La cité antique de Pompéi avec le Vésuve en arrière plan. Photo que j'ai prise lors d'un voyage. La cité antique romaine de Pompéi en Campanie, ensevelie sous les cendres et les lapilli du Vésuve, le volcan à proximité, le 24 août 79 de notre ère, va faire de nouveau le bonheur des touristes et des amoureux de la Rome antique. En effet, six domus , c'est-à-dire maisons en latin, du site touristique de Pompéi, deuxième en importance en Italie après le Colisée à Rome, avec 2,7 millions de touristes par an, ont été rouvertes en grande pompe par le Président du Conseil italien en personne, Matteo Renzi, fin décembre 2015, après une période de restauration. Celui-ci a annoncé fièrement que le pays en a fini avec «  les choses à moitié faites  » comme dans le passé. Les travaux de restauration par le passé étaient bâclés. Des maisons s'effondraient même après des opérations de restauration parce que celles-ci étaient mal faites, notamment avec du béton, matériau beauc...