Madame Bernadette Malgorn, la chef de file de la droite et du centre brestois, avec son groupe municipal et métropolitain 'Rassemblement pour Brest' (RPB) réagit à l'acte violent de délinquance qui a eu lieu mercredi 26 août dans un restaurant de la rue Jean-Jaurès, pour rappeller l'importance de la vidéosurveillance dans ce genre d'affaires pour retrouver les auteurs de tels faits et les poursuivre en justice.
Voici son communiqué de presse qui insiste à juste titre sur le bien-fondé de la vidéosurveillance, refusée encore et toujours par M. le maire et président de la métropole, M. François Cuillandre (socialiste), pour des raisons idéologiques qui n'ont pas leur place ici, la sécurité étant une des premières libertés :
Violences gratuites ou pas : ce sont les Brestois qui payent !
C'est avec violence ce mercredi qu'un homme a tenté de s'introduire dans un restaurant de la rue Jean Jaurès. Alors que les propriétaires, ayant réussi à s'enfermer dans le local appelaient la police, les riverains, médusés, ont vu l'homme équipé d’un revolver défoncer la vitrine avec la crosse avant de partir en courant. Bien que la police soit arrivée rapidement sur les lieux, l'homme n'a pu être interpellé. Cette agression est une nouvelle illustration des problèmes de sécurité que connait notre ville.
Les victimes en sont à espérer que les caméras de vidéosurveillance de la boutique mitoyenne permettent de retrouver très vite l'agresseur. Le Rassemblement pour Brest soutient la mise en place de la vidéo protection sur l'espace public : elle équipe déjà toutes les métropoles et les villes de plus de cent mille habitants et y a fait ses preuves.
Chacun, à la mesure de ses responsabilités, doit participer à créer une ville sûre. Le maire est en première ligne en matière de prévention de la délinquance : il a des responsabilités éminentes en matière de sécurité en lien avec les autorités de l’Etat.
Face à la récurrence des actes délictueux et à l’inquiétude de la population, la municipalité brestoise reste passive, niant l'évidence des faits et ses responsabilités. Le Rassemblement pour Brest a fait des propositions concrètes et faciles à mettre en œuvre rapidement. Qu’enfin la municipalité cesse de s’entêter dans son idéologie et donne la priorité à la quiétude et la qualité de vie des Brestois.
Voici son communiqué de presse qui insiste à juste titre sur le bien-fondé de la vidéosurveillance, refusée encore et toujours par M. le maire et président de la métropole, M. François Cuillandre (socialiste), pour des raisons idéologiques qui n'ont pas leur place ici, la sécurité étant une des premières libertés :
Violences gratuites ou pas : ce sont les Brestois qui payent !
C'est avec violence ce mercredi qu'un homme a tenté de s'introduire dans un restaurant de la rue Jean Jaurès. Alors que les propriétaires, ayant réussi à s'enfermer dans le local appelaient la police, les riverains, médusés, ont vu l'homme équipé d’un revolver défoncer la vitrine avec la crosse avant de partir en courant. Bien que la police soit arrivée rapidement sur les lieux, l'homme n'a pu être interpellé. Cette agression est une nouvelle illustration des problèmes de sécurité que connait notre ville.
Les victimes en sont à espérer que les caméras de vidéosurveillance de la boutique mitoyenne permettent de retrouver très vite l'agresseur. Le Rassemblement pour Brest soutient la mise en place de la vidéo protection sur l'espace public : elle équipe déjà toutes les métropoles et les villes de plus de cent mille habitants et y a fait ses preuves.
Chacun, à la mesure de ses responsabilités, doit participer à créer une ville sûre. Le maire est en première ligne en matière de prévention de la délinquance : il a des responsabilités éminentes en matière de sécurité en lien avec les autorités de l’Etat.
Face à la récurrence des actes délictueux et à l’inquiétude de la population, la municipalité brestoise reste passive, niant l'évidence des faits et ses responsabilités. Le Rassemblement pour Brest a fait des propositions concrètes et faciles à mettre en œuvre rapidement. Qu’enfin la municipalité cesse de s’entêter dans son idéologie et donne la priorité à la quiétude et la qualité de vie des Brestois.
Commentaires
Enregistrer un commentaire