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L'opposition brestoise dénonce les zones de non-droit dans la ville

Voici le nouveau communiqué de presse de l'opposition municipale de Brest métropole, le groupe Rassemblement pour Brest (RPB), concernant les récents actes de violences et de délinquance urbaine dans la ville :

Non aux zones de non-droit dans nos quartiers


La qualité de vie, la tranquillité des quartiers brestois, à l’écart des phénomènes de délinquance et de banditisme, constituait une  part de notre attractivité.

La multiplication des incivilités et  des actes  délictueux depuis plusieurs années remet en cause ce modèle. Les Brestois veulent pouvoir aller et venir à leur guise dans l’espace public sans craindre pour leur sécurité. C’est ce qu’ils nous disent dans nos rencontres.

La  rixe de la place Guérin, mettant aux prises une quinzaine d’individus munis de matraques et d’armes blanches, est une nouvelle illustration des dégâts causés par le trafic de drogue avec ses règlements de comptes entre bandes rivales.  Et cela à deux pas des écoles maternelle et primaire.

Dans le même temps, on apprend qu’à Saint-Pierre, les cambriolages se multiplient sur les commerces, boulangerie, pharmacie, restauration rapide. Un commerce a fait l’objet d’une attaque à main armée et de deux cambriolages en quelques semaines. Dans la grande surface voisine, les caddies en métal trop souvent volés sont désormais en plastique. A peine mis en service, ils sont partis en fumée suite à un incendie volontaire.

La police nationale fait son travail, elle le fait bien. L’entêtement du maire l’empêche d’être soulagée des petites affaires par une police municipale. Les patrouilles de police nationale seraient plus vite sur les affaires sérieuses. Son refus d’installer une vidéo-protection complique aussi le travail de la police.

Bernadette Malgorn et les élus du Rassemblement pour Brest portent ces propositions car pour nous la sécurité des Brestois est vraiment une priorité.

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