Accéder au contenu principal

Articles

Affichage des articles du octobre, 2016

Brest Métropole, plus que jamais connectée

Le projet immobilier au Stang Alar D’emblée il a été interrompu par lune association de riverains d’un projet immobilier au Stang Alar, l’association Stang-Alar à propos  du projet plus que controversé de construire un complexe de 2 immeubles de 5 étages chacun et d'une hauteur de 71 mètres pour 27 logements en tout le petit chemin de Penhellen, emprunté entre autres fréquemment par les joueurs du Stade brestois 29 pour leur entraînement. Ce projet si il voit le jour modifierait en profondeur le paysage bucolique à cet endroit, alors que les espaces verts se font de plus en plus rares dans la ville. Le permis de construire a été accordé le 26 mai dernier. Quatre riverains sont farouchement opposés au projet. Mais «  leurs remarques ne nous ont pas parus suffisamment pertinentes pour remettre en cause le projet  », estime M. Thierry Fayret. Thierry Fayret, en charge de l’urbanisme sur Brest Métropole répond qu’«  il s’agit d’un projet privé sur une parcelle privé et l’instr

La droite brestoise blâme l'équipe Cuillandre sur les effectifs en maternelle

Le groupe de l'opposition brestoise à Brest métropole, RPB, a émis un nouveau communiqué de presse concernant la baisse des inscriptions dans les écoles maternelles et primaires publiques de Brest. Voici le communiqué de RPB : "Écoles brestoises, la fuite de la responsabilité de l'équipe Cuillandre Lors de la présentation des chiffres de la rentrée scolaire 2016/2017, l'adjoint à l'éducation, M. Marc Sawicki, s'est livré à un exercice hasardeux. A la baisse des inscriptions dans les écoles publiques, il n'a qu'une seule réponse : "c"est la faute des Atsem" (les agents des écoles maternelles). A aucun moment il ne se sent concerné par les causes du conflit qui a touché les écoles, conséquence directe de l'équipe Cuillandre de faire des économies sur le dos des enfants et sur le niveau d'encadrement en maternelle. Selon le vieux principe, "diviser pour mieux régner", la municipalité préfère alimenter des tensions i

L'opposition brestoise dénonce le fait du prince

L'opposition municipale brestoise, RPB, a émis un nouveau communiqué de presse sur le nom donné à la  médiathèque  des Capucins au conseil municipal du 5 octobre (voir mon compte-rendu sur ce blog), voici le texte de RPB : Médiathèque des Capucins: le caprice du maire Aucun bâtiment public brestois ne porte un nom de femme, si l’on excepte deux écoles et une maison de  retraite. Quant aux rues, places et  jardins, seulement 3,2% sont féminisés. Est-ce à dire que les femmes n’auraient pas leur place dans l’espace public de notre cité ? Dès le  9 décembre 2015,  en conseil municipal, le Rassemblement pour Brest, par la voix de Claudine Péron, suggérait qu’un nom de femme ayant illustré la littérature française, soit donné à la future médiathèque des Capucins. Silence du maire … On a compris pourquoi au conseil municipal du 5 octobre. M. Cuillandre avait décidé, que ce serait François Mitterrand. Il ne serait guère que le 55 ème  maire de France à baptiser ain

Un conseil municipal à Brest à couteaux tirés

Le conseil municipal s'est réuni mercredi 5 octobre. Comme à chaque conseil municipal, Mme Bernadette Malgorn, la meneuse du groupe d’opposition municipale, RPB (Rassemblement Pour Brest, union de la droite et du centre brestois), part à l’attaque contre le maire, M. François Cuillandre et sa majorité socialiste. Elle évoque deux thématiques chères à la droite brestoise : la sécurité et la gestion calamiteuse des fêtes maritimes de Brest 2016 en lien avec l’article sulfureux paru dans l’hebdomadaire Marianne en juillet dernier — article relatant les déboires entre Brest Événements nautiques, organisme chargé des fêtes maritimes et son ancien directeur, M. François Arbellot, aujourd’hui en procès aux Prud’hommes pour licenciement abusif contre son ancien employeur, ce dernier lui reprochant d’avoir regardé d’un peu trop près le budget communication pour l’agence Rivacom.  Sécurité et Brest 2016 Mme Malgorn rappelle que son groupe a émis des inquiétudes sur cette gestion de