La candidature communiste sur la 6ème circonscription du Finistère a un goût amer pour le Parti de Gauche
Le Parti de Gauche de Brest vilipende dans un nouveau communiqué de presse l'investiture de Maxime Paul pour le PCF pour les législatives de 2017 sur la 6ème circonscription du Finistère, la plus grande du département et qui va de l'île d'Ouessant à Carhaix.
Législatives sur la 6e circonscription : le retour du fils prodigue de Véolia
Il a été annoncé que Maxime Paul, apparatchik brestois, est le candidat du PCF aux élections législatives sur la 6e circonscription du Finistère. Il affirme avec justesse que Richard Ferrand « n’est pas le député dont nous avons besoin » en raison de son engagement « au service du monde des affaires ».
Pourtant, M. Paul n’était pas aussi regardant par le passé quand il collaborait à la majorité brestoise et communautaire, main dans la main avec les copains d’alors de R. Ferrand. De même, il ne semblait pas préoccupé par la lutte contre le « monde des affaires » quand il œuvrait à la mise en place de la SPL Eau du Ponant qui, à en croire la Cour Régionale des Comptes, n’a rien de public, ni d’efficace, ni de bon marché ou encore de transparent.
Du fait de l’action de M. Paul, l’eau n’a jamais été aussi chère à Brest, le contrat entre la SPL et Véolia est toujours aussi profitable à la multinationale, et les jetons de présence des élus membres de son Conseil d’administration confortables au regard du travail fourni. Pendant ce temps, ce sont les usagers qui trinquent.
L’action politique doit reposer sur un engagement sincère, pas sur des rengaines sitôt ou-bliées la campagne électorale passée. M. Paul, adepte des liaisons dangereuses avec les intérêts privés, se fait pitre lorsqu'il prétend lutter contre le monde des affaires. Le népotisme, le carriérisme, les copinages ou encore l’hypocrisie corrompent la vie publique ; ce sont plus que jamais l’intérêt général et la probité qui doivent la guider.
Législatives sur la 6e circonscription : le retour du fils prodigue de Véolia
Il a été annoncé que Maxime Paul, apparatchik brestois, est le candidat du PCF aux élections législatives sur la 6e circonscription du Finistère. Il affirme avec justesse que Richard Ferrand « n’est pas le député dont nous avons besoin » en raison de son engagement « au service du monde des affaires ».
Pourtant, M. Paul n’était pas aussi regardant par le passé quand il collaborait à la majorité brestoise et communautaire, main dans la main avec les copains d’alors de R. Ferrand. De même, il ne semblait pas préoccupé par la lutte contre le « monde des affaires » quand il œuvrait à la mise en place de la SPL Eau du Ponant qui, à en croire la Cour Régionale des Comptes, n’a rien de public, ni d’efficace, ni de bon marché ou encore de transparent.
Du fait de l’action de M. Paul, l’eau n’a jamais été aussi chère à Brest, le contrat entre la SPL et Véolia est toujours aussi profitable à la multinationale, et les jetons de présence des élus membres de son Conseil d’administration confortables au regard du travail fourni. Pendant ce temps, ce sont les usagers qui trinquent.
L’action politique doit reposer sur un engagement sincère, pas sur des rengaines sitôt ou-bliées la campagne électorale passée. M. Paul, adepte des liaisons dangereuses avec les intérêts privés, se fait pitre lorsqu'il prétend lutter contre le monde des affaires. Le népotisme, le carriérisme, les copinages ou encore l’hypocrisie corrompent la vie publique ; ce sont plus que jamais l’intérêt général et la probité qui doivent la guider.
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