Le Parti de Gauche du pays de Brest dénonce les plans d'austérité d'où qu'ils viennent même si ces mesures sont adoptées par des membres de leur parti politique dans d'autres villes où ils sont associés aux décisions comme à Grenoble, que M. François Cuillandre a évoqué effectivement lors du conseil municipal du jeudi 8 décembre (voir mon dernier article sur ce blog), en citant un extrait du journal Le Monde, où le conseil municipal là-bas se tient sous la garde des forces de l'ordre depuis septembre 2016 (ironie de l'histoire, la police est décriée généralement par les partis composant l'équipe municipale à Grenoble, aussi bien Europe Écologie-Les Verts que le Parti de Gauche !) et où des mesures d'austérité sont prises.
Dans un autre communiqué de presse ils s'en prennent à Mme Bernadette Abiven, accusée selon le PG "d'inconséquence" lors du dernier Conseil municipal, qualifié de "Conseil municipal crépusculaire" par la gauche radicale locale.
Je vous laisse découvrir ci-dessous ces deux communiqués de presse du PG de Brest :
« J’ai ordonné le plan austéritaire sans faire gaffe ! Quel con ! »
Citant le journal Le Monde lors du dernier Conseil municipal de Brest, François Cuillandre a dressé un parallèle entre Brest et le cas grenoblois, en prenant soin de faire une allusion à Elisa Martin et le Parti de Gauche pour justifier son propre plan austéritaire.
N’en déplaise à François Cuillandre, nous dénonçons l’austérité et les incompétents ici et ailleurs, quelles que soient leurs prétendues appartenances politiques. Ainsi, le plan austéritaire imposé par la municipalité grenobloise, comme le plan austéritaire que concoctent les exécutifs de Brest et Brest Métropole, sont effectivement tout deux des plans de régressions sociales, à combattre comme tels.
Le journal grenoblois « Le Postillon » a révélé que Elisa Martin avait validé le plan austéritaire grenoblois « sans faire gaffe », et se taxait elle-même de « conne ». Nous ne pouvons que nous inquiéter que François Cuillandre détermine sa politique sur un tel modèle.
Ils ont marché sur la Lune
Le Conseil municipal de Brest qui s’est tenu le jeudi 8 décembre a permis de vérifier les positions des uns et des autres, alors que les exécutifs de Brest et Brest Métropole projettent un plan austéritaire.
Durant ce Conseil municipal crépusculaire, c’est de nouveau le PS qui a remporté la palme de l'inconséquence, lorsque Bernadette Abiven a déclaré que « l’austérité c’est pas le sujet » et fait mine de prétendre que ce plan permettait de moderniser le service public : après « La guerre, c’est la paix », « Moderniser, c’est liquider » ?
Pourquoi voter Bernadette Malgorn en 2020, quand son programme est appliqué dès aujourd’hui par François Cuillandre et consorts ? Brest, les Brestois et les Brestoises méritent mieux.
Dans un autre communiqué de presse ils s'en prennent à Mme Bernadette Abiven, accusée selon le PG "d'inconséquence" lors du dernier Conseil municipal, qualifié de "Conseil municipal crépusculaire" par la gauche radicale locale.
Je vous laisse découvrir ci-dessous ces deux communiqués de presse du PG de Brest :
« J’ai ordonné le plan austéritaire sans faire gaffe ! Quel con ! »
Citant le journal Le Monde lors du dernier Conseil municipal de Brest, François Cuillandre a dressé un parallèle entre Brest et le cas grenoblois, en prenant soin de faire une allusion à Elisa Martin et le Parti de Gauche pour justifier son propre plan austéritaire.
N’en déplaise à François Cuillandre, nous dénonçons l’austérité et les incompétents ici et ailleurs, quelles que soient leurs prétendues appartenances politiques. Ainsi, le plan austéritaire imposé par la municipalité grenobloise, comme le plan austéritaire que concoctent les exécutifs de Brest et Brest Métropole, sont effectivement tout deux des plans de régressions sociales, à combattre comme tels.
Le journal grenoblois « Le Postillon » a révélé que Elisa Martin avait validé le plan austéritaire grenoblois « sans faire gaffe », et se taxait elle-même de « conne ». Nous ne pouvons que nous inquiéter que François Cuillandre détermine sa politique sur un tel modèle.
Ils ont marché sur la Lune
Le Conseil municipal de Brest qui s’est tenu le jeudi 8 décembre a permis de vérifier les positions des uns et des autres, alors que les exécutifs de Brest et Brest Métropole projettent un plan austéritaire.
Durant ce Conseil municipal crépusculaire, c’est de nouveau le PS qui a remporté la palme de l'inconséquence, lorsque Bernadette Abiven a déclaré que « l’austérité c’est pas le sujet » et fait mine de prétendre que ce plan permettait de moderniser le service public : après « La guerre, c’est la paix », « Moderniser, c’est liquider » ?
Pourquoi voter Bernadette Malgorn en 2020, quand son programme est appliqué dès aujourd’hui par François Cuillandre et consorts ? Brest, les Brestois et les Brestoises méritent mieux.
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