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« Colère de Brest ! L'humain d'abord » sur la question sociale : F. Cuillandre entre mépris et renoncement

Les porte-paroles et têtes de liste de "Colère de Brest ! L'humain d'abord", Christine Panaget-Le Roy et Quentin Marchand, sont une nouvelle fois en colère, dans un communiqué de presse du 19 mars, contre le maire sortant, François Cuillandre et candidat à un nouveau mandat à la tête de la liste : "Ensemble, tenons le cap !", liste d'union du Parti socialiste (PS), du Parti Radical de Gauche (PRG), d'Europe Écologie-Les Verts (EELV), du Parti communiste (PC) et des élus de Brest Nouvelle Citoyenneté (BNC). « Colère de Brest ! L'humain d'abord » veut attirer l'attention des électeurs brestois sur les méthodes autoritaires et le mépris des droits sociaux de la part de M. Cuillandre au sein de la mairie et des organismes dépendants de la Ville.

"A quoi joue le maire sortant F. Cuillandre en tant qu'employeur ? Dénonciation unilatérale de l'accord d'entreprise à l'agence d'urbanisme ADEUPa, bras de fer lors de la grève des éboueurs cet été, et de très nombreux autres conflits, notamment à la mission locale et au CLIC. De fait, en démocratie comme en négociation sociale, le dialogue n'est pas son fort, il préfère le mépris et l'autorité.

Cette politique sociale traduit parfaitement le désintérêt de F. Cuillandre pour la question sociale et les conditions de vie des travailleurs. C'est un profond renoncement aux valeurs historique de la gauche. Il accompagne localement les choix faits par le gouvernement de droite : remise en cause du droit du travail et démantèlement des acquis sociaux. Pour les 6 années à venir, les nombreux employés des collectivités et de ses agences paieront cher l'austérité et le mépris de leurs conditions de travail.

Pour « Colère de Brest ! L'humain d'abord », la municipalité se doit d'être exemplaire en matière sociale, lutter contre la précarité au sein de ses services mais également sur son territoire et être garante du respect du droit du travail et des représentants syndicaux".

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