Avis d'assemblée citoyenne de "Colère de Brest ! L'humain d'abord" ce soir au centre socio-culurel de Pontanézen
La liste "Colère de Brest ! L'humain d'abord" tiendra une assemblée citoyenne ce soir, jeudi 27 février, de 20 h à 22 h dans le quartier de Pontanézen, au centre social Horizons, anciennement appelé L'Escale. Encore une nouvelle fois l'occasion pour eux d'exprimer et d'appeler les habitants de ce quartier d'habitat populaire à exprimer leur colère. Car elle est "grande : les politiques d'austérité nous conduisent droit dans le mur et l'on voudrait nous faire croire qu'il n'y a pas d'alternative ?"
Cette assemblée citoyenne, à trois semaines du 1er tour des municipales, sera une nouvelle fois déclinée sur les thèmes de l'industrie, du logement, de l'éducation, des transports, des services publics, de la revitalisation des quartiers, de la proximité et de la solidarité. En prenant en compte aussi les besoins des habitants de ce quartier HLM brestois, construit au début des années 1970 et qui a toujours été stigmatisé dans la ville comme un ghetto.
Malgré le fait que l'aspect extérieur de ce quartier ait changé grâce au tram et aux opérations de renouvellement urbains, l'image écornée persiste. Il reste connu malheureusement dans les médias pour ses problèmes de violence et ses trafics en tout genre, notamment de drogue. Alors que la plupart des habitants de ce quartier veulent vivre normalement et s'en sortir. Et que le dynamisme des associations du quartier, comme le journal du quartier, Tapaj existant depuis 1990, démontre la forte implication des habitants pour changer l'image de leur quartier. Le plan de départ programmatique de la liste "Colère de Brest ! L'humain d'abord" devrait trouver ici une forte résonance.
Assemblée citoyenne, jeudi 27 février de 20 h à 22 h au centre socio-culturel L'Escale-Horizons, 5, rue Sisley à Pontanézen. Ouvert à toutes et tous.
Assemblée citoyenne, jeudi 27 février de 20 h à 22 h au centre socio-culturel L'Escale-Horizons, 5, rue Sisley à Pontanézen. Ouvert à toutes et tous.
Marc Gidrol
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